Book Notes

Autrices incontournables en SFFF à découvrir : la fantasy !

Il y a fort longtemps, je vous parlais du tag de Nevertwhere où des lecteurs·rices partageaient leurs autrices incontournables en SFFF. Il m’a donné l’idée de les ajouter en wish list (ce qui m’a encore pris fort longtemps XD), en démarrant par la SF il y a quelques mois. Pour cet article, il va s’agir des romans de fantasy rédigés par des autrices qui me tentaient beaucoup.

Eva Evergreen is determined to earn the rank of Novice Witch before she turns thirteen years old. If she doesn’t, she’ll lose her magic forever. For most young witches and wizards, it’s a simple enough test:

ONE: Help your town, do good all around.
TWO: Live there for one moon, don’t leave too soon.
THREE: Fly home by broomstick, the easiest of tricks.

The only problem? Eva only has a pinch of magic. She summons heads of cabbage instead of flowers and gets a sunburn instead of calling down rain. And to add insult to injury, whenever she overuses her magic, she falls asleep.

When she lands on the tranquil coastal town of Auteri, the residents expect a powerful witch, not a semi-magical girl. So Eva comes up with a plan: set up a magical repair shop to aid Auteri and prove she’s worthy. She may have more blood than magic, but her « semi-magical fixes » repair the lives of the townspeople in ways they never could have imagined. Only, Eva’s bit of magic may not be enough when the biggest magical storm in history threatens the town she’s grown to love. 

C’est tellement cute. Je n’avais jamais entendu parler de cette série, mais une petite sorcière maladroite, ça me parle toujours.

Au royaume de Sangaré, une société matriarcale subdivisée en plusieurs tribus, aussi appelées «terres» les femmes dirigent la société.
Les hommes sont chargés de réaliser les travaux les plus pénibles et de faire la guerre pour elles, tout en leur obéissant aveuglément. Oko est une jeune fille qui a grandi auprès d’un père aimant et d’une mère souvent absente. À l’âge de 16 ans, son père, ainsi que tous les hommes de son village, ont fait l’objet d’une cueillette afin d’aller mener une guerre de conquête pour la reine. Son père n’en est jamais revenu. À 22 ans, le jour où elle apprend que Shomari l’Amaranthe, le plus grand envoûteur du monde, recherche un apprenti elle décide de se présenter…

J’aime beaucoup la couverture, comme pour une majorité des livres que j’ai choisis pour ces incontournables. Et j’ai très peu lu des romans inspirés de l’Afrique et de sa mythologie.

Dans Foranza, cité éclairée par la tolérance et l’art des peintres, vouée au culte des fées, un meurtrier s’attaque sauvagement aux femmes, assassinées dans des conditions atroces, au sein même des ateliers d’artistes.

Tandis qu’Aphrodisia Malatesta mène l’enquête la plus difficile de sa carrière, son ami Pasquale Di Auleri invente d’incroyables machines avec l’aide de son assistante Leona Da Veni ; Martin, le mercenaire étranger, forme une milice de femmes pour protéger les artisanes et les ouvrières qui, comme Lupa et Callista, craignent désormais pour leur vie ; enfin, derrière son bar, au Fée-z-Alys, Chiara tente de maintenir en vie le rêve d’une société qui semble se désagréger sous ses yeux.

Mais la principauté portuaire n’est pas au bout de ses peines, comme si les fées adorées et le destin souhaitaient s’acharner contre elle.

J’adore les romans qui mettent en scène des fées.

« La Bête est insaisissable. Elle se glisse dans les sous-bois quand tombe silencieusement la nuit. Elle rampe, rugit d’une rage sourde, prête à ravager les alentours de sa fureur meurtrière. Et nul ne la rencontre sans en mourir.

La Bête n’a pas d’ombre. Elle ne laisse aucune trace après son passage, si ce n’est que le corps massacré de sa pauvre victime. Dans la pâle lumière du soir, sa fourrure se marie à l’absence de couleurs. »

Depuis qu’elle a décimé sa famille, Sybil n’a qu’une obsession : tuer la Bête et trouver enfin la quiétude dans la vengeance. Moins coquette que ses sœurs, moins prompte à se marier que les autres filles de son âge, la belle, éprise de liberté, préfère s’exercer aux arts de la chasse et manie l’arbalète avec courage.

Retenue au village par l’amour qu’elle porte à son père défaillant, elle finit par répondre à l’appel obsédant de la forêt le jour où la Bête frappe de nouveau. Sait-elle qu’elle vient de poser le pied au cœur d’un labyrinthe inextricable fait de roses dorées, de contes oubliés et d’illusions démentes ?

Ca me fait un peu penser à la Belle et la Bête.

Au cœur du royaume de Steinburg, la rumeur se propage : il se dit que la nouvelle reine serait affreusement laide.
Wilhelm II vient de prendre pour épouse Kirsten von Schaffen. Mais l’union n’est que politique, nécessaire pour calmer les tensions avec Brückenberg, la contrée ennemie. Sitôt mariée, la jeune princesse subit de plein fouet la cruauté de la cour. Étrangère au pays, défigurée, sans famille ni amis, elle est une cible facile pour Wilhelm et ses partisans.
Pourtant, en silence, malgré la douleur, la reine calomniée endure et se bat pour exister. Pour prendre la place qui lui revient. Jour après jour, son reflet s’adoucit dans les yeux de son confident : Weiss, son beau-fils. Le prince héritier s’affirme comme l’exact opposé de son père. Il est érudit, altruiste et séduisant. La relation qui se tisse entre les deux jeunes gens, discrète et puissante, brise la solitude de la souveraine.
Mais dans l’ombre de sa chambre, à l’abri des regards, le miroir offert par son époux comme une ultime moquerie murmure à l’oreille de Kirsten …
De lui viendra son ascension ou sa perte.

Le symbolisme du miroir me parle beaucoup.

1828. Robin Swift, orphaned by cholera in Canton, is brought to London by the mysterious Professor Lovell. There, he trains for years in Latin, Ancient Greek, and Chinese, all in preparation for the day he’ll enroll in Oxford University’s prestigious Royal Institute of Translation–also known as Babel.

Babel is the world’s center for translation and, more importantly, magic. Silver working–the art of manifesting the meaning lost in translation using enchanted silver bars–has made the British unparalleled in power, as its knowledge serves the Empire’s quest for colonization.

For Robin, Oxford is a utopia dedicated to the pursuit of knowledge. But knowledge obeys power, and as a Chinese boy raised in Britain, Robin realizes serving Babel means betraying his motherland. As his studies progress, Robin finds himself caught between Babel and the shadowy Hermes Society, an organization dedicated to stopping imperial expansion. When Britain pursues an unjust war with China over silver and opium, Robin must decide…

Can powerful institutions be changed from within, or does revolution always require violence?

J’adore le fait que la traduction soit au coeur du livre !

Richard Saint-Vière est le meilleur duelliste des Bords-d’Eaux. Cela n’empêche pas le bretteur de se retrouver entraîné avec Alec, son amant, dans les intrigues des nobles de la Colline. L’honneur sera-t-il suffisant pour les déjouer ?

Je sais qu’il va être compliqué de trouver cette édition … mais en tout cas, c’est le côté de cape et d’épée qui me parle. J’ai deux romans d’Estelle Faye dans ce style déjà et ils sont tellement beaux !

Derrière ses salles de bal et ses boudoirs, Bords-d’Eaux dissimule ses luttes de pouvoir, entre manigances politiques et duels de rapière. Katherine se retrouve plongée dans cet univers quand elle arrive de sa campagne chez son oncle, le « Duc Fou de Trémontaine ». Auprès de lui, elle va comprendre que les règles sont faites pour être brisées. Katherine délaisse alors la voie du mariage qu’on voudrait la voir suivre pour lui préférer celle de l’épée et de ses privilèges.

Saaaame.

Life used to be great for Rose: full of friends, a loving mom, and a growing fashion blog.

But when her mother dies in a car crash, Rose is sent away to live with a strange grandmother she hardly knows and forced to attend a new school where mean girls ridicule her at every turn.

The only place Rose finds refuge is in her grandmother’s greenhouse. But one night she sees a strange light glowing from within it. She goes to investigate…and finds herself transported back five hundred years to Hatfield Palace, where she becomes servant and confidant of the banished princess Elizabeth, daughter of King Henry VIII.

Rose soon discovers something else amazing—a locket with two mysterious images inside it, both clues to her own past. Could the greenhouse portal offer answers to the mysteries of her family…and their secrets?

Non non pas encore une histoire de voyage dans le temps. Vois pas du tout de quoi vous voulez parler.

Maia Tamarin dreams of becoming the greatest tailor in the land, but as a girl, the best she can hope for is to marry well. When a royal messenger summons her ailing father, once a tailor of renown, to court, Maia poses as a boy and takes his place. She knows her life is forfeit if her secret is discovered, but she’ll take that risk to achieve her dream and save her family from ruin. There’s just one catch: Maia is one of twelve tailors vying for the job.

Backstabbing and lies run rampant as the tailors compete in challenges to prove their artistry and skill. Maia’s task is further complicated when she draws the attention of the court magician, Edan, whose piercing eyes seem to see straight through her disguise.

And nothing could have prepared her for the final challenge: to sew three magic gowns for the emperor’s reluctant bride-to-be, from the laughter of the sun, the tears of the moon, and the blood of stars. With this impossible task before her, she embarks on a journey to the far reaches of the kingdom, seeking the sun, the moon, and the stars, and finding more than she ever could have imagined.

Aaaah les robes magiques, ça me rappelle des contes que je lisais enfant ! Et le côté se faire passer pour un garçon reste un motif littéraire qui me plaît toujours.

La perspective de passer ce qui pourrait être son dernier été loin de chez elle n’enchante pas vraiment Perséphone. La jeune fille atteinte d’une mystérieuse maladie qui l’affaiblit de jour en jour se retrouve coincée dans le Finistère, chez une tante excentrique dont elle ignore tout.

Elle qui n’avait jamais fait face à l’Océan se sent irrésistiblement attirée par cette immense étendue d’eau… Mais l’Océan regorge d’êtres mystiques tous plus dangereux les uns que les autres. Et pire encore : il semble renfermer des secrets qui pourraient bien remettre en question toute la vie de Penny.

Je ne suis pas très sirène mais c’est un roman qui m’a parlé tout de suite.

In a few short months, Emi’s mortal life will end when she becomes the human host of an immortal goddess. Carefully hidden from those who would destroy her, she has prepared her mind, body, and soul to unite with the goddess—and not once has she doubted her chosen fate.

Shiro is a spirit of the earth and an enemy of the goddess Emi will soon host. Mystery shrouds his every move and his ruby eyes shine with cunning she can’t match and dares not trust. But she saved his life, and until his debt is paid, he is hers to command—whether she wants him or not.

On the day they meet, everything Emi believes comes undone, swept away like snow upon the winter wind. For the first time, she wants to change her fate—but how can she erase a destiny already wrought in stone? Against the power of the gods, Shiro is her only hope … and hope is all she has left.

Récits d’esprits, de dieux et déesses … yay ^^

Dans l’obscurité de leur chambre, sous leur lit, même derrière une armoire, les enfants descendent le terrier du lapin blanc et réapparaissent… ailleurs. Mais les pays imaginaires n’ont que faire de prodiges fatigués.

Nancy y a fait un tour, puis elle en est revenue. Les choses qu’elle y a vécues l’ont changée à jamais. Les élèves qu’Eleanor West accueille au sein de son école le savent d’ailleurs très bien. Chacun d’entre eux doit se réadapter à ce monde et finit souvent par chercher un moyen de rejoindre le lieu de ses rêveries.

Pourtant, dans cette institution qui existe pour les protéger, une ombre se cache derrière chaque pan de mur. Très vite, les meurtres s’enchaînent. Alors, pour survivre, Nancy et ses nouveaux camarades doivent trouver le coupable.

Le côté école, les différents monde m’intriguent beaucoup.

Patiente et intrépide, Agnieszka parvient toujours à glaner dans la forêt les baies les plus recherchées, mais chacun à Dvernik sait qu’il est impossible de rivaliser avec Kasia. Intelligente et pleine de grâce, son amie brille d’un éclat sans pareil. Malheureusement, la perfection peut servir de monnaie d’échange dans cette vallée menacée par la corruption.

     Car si les villageois demeurent dans la région, c’est uniquement grâce aux pouvoirs du « Dragon ». Jour après jour, ce sorcier protège la vallée des assauts du Bois, lieu sombre où rôdent créatures maléfiques et forces malfaisantes. En échange, tous les dix ans, le magicien choisit une jeune femme de dix-sept ans qui l’accompagne dans sa tour pour le servir.

     L’heure de la sélection approche et tout le monde s’est préparé au départ de la perle rare.

     Pourtant, quand le Dragon leur rend visite, rien ne se passe comme prévu…

Je l’ai trouvé au final dans une autre édition, mais celle-ci est terriblement jolie.

Deep beneath the sea, off the cold Irish coast, Gaia is a young mermaid who dreams of freedom from her controlling father. On her first swim to the surface, she is drawn towards a human boy. She longs to join his carefree world, but how much will she have to sacrifice? What will it take for the little mermaid to find her voice? 

Je n’ai pas lu de réécriture de conte depuis longtemps, malgré la vague de popularité qu’ils rencontrent depuis quelques années. C’est peut-être l’aspect proche de l’Irlande qui m’a donné envie aussi. (Pas du tout la couverture intensément choupette).

Violette, 17 ans, part en virée avec Maëva, Lucas et Alexis. Direction le château d’eau désaffecté de Saint-Crépin-l’Hermite, un endroit à la sinistre réputation. Quelques heures plus tard, elle ouvre les yeux. Elle est couchée face contre terre, au milieu d’une forêt sauvage. Ceux quelle rencontre portent des noms bizarres : Dièse, Trille, Sonate…

Telle Alice tombée de l’autre côté du miroir, la jeune fille aurait-elle atterri dans un univers à part ? Pourquoi tout le monde la confond avec une certaine Princesse Croche, disparue trois ans plus tôt ? Et qui est Arpège, ce garçon casse-cœur qui la dévisage ? Violette le sent, l’envers de ce décor féérique, c’est un danger de mort.

Mais comment retrouver le chemin de la maison ?

Je ne suis pas très musique, mais cet univers m’attire beaucoup. Ce livre n’est plus dans ma wish, je l’ai trouvé il y a quelques mois, mais je voulais l’inclure tout de même.

Jevick est le fils du plus riche marchand de poivre de Tyom. Bercé toute sa vie par les légendes et les contes de la lointaine Olondre, un pays où les livres sont aussi communs qu’ils sont rares sur son île, il touche enfin, à la mort de son père, au bonheur de visiter cette contrée magique et emplie de bibliothèques afin d’y perpétuer le commerce familial.

     Ses désirs semblent comblés jusqu’à ce que, au lendemain du rabelaisien Festival des Oiseaux, qui rythme la vie religieuse en Olondre, il se découvre hanté par un ange.

     Après avoir été emprisonné, Jevick est contraint de chercher de l’aide auprès des prêtres et des savants olondriens. Mais il lui apparait rapidement qu’il est devenu un enjeu capital dans la lutte sans merci que se livrent les deux principales religions olondriennes.

     Dans un pays au bord de la guerre civile, Jevick devra comprendre ce que veut son ange et traverser tout un continent pour retrouver sa liberté.

Bibliothèèèques ^^ Oui je me doute que ce n’est pas le sujet principal, mais l’univers a l’air intéressant aussi.

Septembre a douze ans et aspire à l’aventure. Quand le Vent Vert et le Léopard des Petites Brises l’invitent en Féérie, bien sûr, elle accepte. Elle découvrira qu’elle seule peut libérer Féérie de la main de fer de la Marquise. En compagnie d’un Vouivriothèque, elle perdra son cœur, ses chaussures, son ombre et son chemin, mais trouvera le courage, une Cuiller et bien plus encore…

Il y a une impression de poésie qui se détache de ce livre que j’avais repéré il y a quelques années déjà.

Severin Unck’s father is a famous director of Gothic romances in an alternate 1986 in which talking movies are still a daring innovation due to the patent-hoarding Edison family. Rebelling against her father’s films of passion, intrigue, and spirits from beyond, Severin starts making documentaries, traveling through space and investigating the levitator cults of Neptune and the lawless saloons of Mars. For this is not our solar system, but one drawn from classic science fiction in which all the planets are inhabited and we travel through space on beautiful rockets. Severin is a realist in a fantastic universe.

But her latest film, which investigates the disappearance of a diving colony on a watery Venus populated by island-sized alien creatures, will be her last. Though her crew limps home to earth and her story is preserved by the colony’s last survivor, Severin will never return.

Histoire alternative 💜 Cinéma ! Voyage dans l’espace 💜

Bon Agornin a eu une longue et belle vie, mais sa fin est proche, il le sent. Étendu près de son trésor, il attend la mort. Toute sa famille est réunie pour vivre avec lui ses derniers instants : ses deux fils et ses trois filles, ainsi que son gendre, l’illustre Daverak qui héritera de son domaine.

Bon Agornin tient absolument à se confesser à son fils aîné, il veut partir absous de ses péchés, d’autant que ceux-ci sont immenses : afin de pouvoir devenir un dragon de soixante-dix pieds de long, capable de voler et de cracher du feu, il a dévoré son frère et sa sœur — les carcasses de bœuf ne suffisent pas pour mener à bien une telle entreprise…

« Je n’ai pas eu le choix », se justifie-t-il, dans son dernier souffle. Avant d’être dévoré à son tour par ses héritiers, comme le veut la tradition chez les dragons.

Dragooooons !

À soixante-treize ans, Sylvia Harrison est une autrice à succès ayant déjà publié plus d’une trentaine de romans. Le prochain se déroulera à Thalia, une cité qui ressemble beaucoup à Florence et qu’elle a imaginée pour la trilogie qui a lancé sa carrière. Afin de nourrir son inspiration, elle se rend en Italie et va, une nouvelle fois, faire appel à lui.

Lui ? Il apparaît dans presque tous ses romans. Il a été dragon, voleur, guerrier et même dieu. Il est celui grâce à qui Sylvia a créé ses personnages les plus marquants. Celui à qui elle parle en son for intérieur depuis des décennies. Celui qui l’a sauvée, qu’elle a chassé, qu’elle a accueilli de nouveau. Celui qui s’éteindra avec elle, lorsqu’elle décédera.

S’éteindre ? Ça, il ne peut l’accepter.

J’aime bien le contexte, l’écriture d’un roman, et ce personnage … intérieur ?

     C’est au moment où Mara, unique héritière du clan des Acoma, s’apprête à prononcer les mots qui la consacreront prêtresse pour le restant de ses jours, que Papéwaio, le plus fidèle des soldats du clan, interrompt la cérémonie pour lui annoncer la mort de son père et de son frère.

Propulsée à la tête du clan, Mara doit regagner ses terres en urgence pour sauver sa maison de la ruine et de la honte. Car au Jeu du conseil les ennemis des Acoma sont nombreux. Il faut reformer au plus vite l’armée décimée, pérenniser les liens commerciaux qui assurent au clan ses revenus et nouer des alliances politiques susceptibles de mettre en échec les plans des maisons rivales.

À condition, bien sûr, de survivre aux assassins toujours plus nombreux qui viennent la traquer jusque dans son fief…

Le côté Japon médiéval, suggéré par la couverture (et les autres que j’ai pu voir) m’a beaucoup inspiré.


C’est tout pour ma petite liste de fantasy ! Il reste encore le fantastique et la fantasy urbaine, j’espère qu’il me faudra moins de quatre mois pour finaliser ces articles ^^, Vous connaissez ces autrices, ces livres ? Vous avez d’autres suggestions ?

2 commentaires sur “Autrices incontournables en SFFF à découvrir : la fantasy !

  1. J’ai le Sofia Samatar à lire, dans cette édition. J’ai l’impression d’en entendre parler depuis des années.

    Tu as déjà lu Uprooted ?

    Ah tiens RF Kuang est une femme, je ne savais pas (j’ai pas cherché), je n’ai pas encore acheté le bouquin mais il y a de grandes chances que la VO arrive chez moi un jour.

    Jo Walton j’en ai lu un mais j’a déjà oublié le titre, c’était une jeune fille qui lisait de la SF avec une mère très problématique si je me souviens bien.

    Tu as lu/en wish Celle qui devint de soleil de Shelley Parker Chan ? J’ai adoré. Dans ma liseuse j’ai aussi dévoré un Claire Krust, je crois les Neiges de l’éternel.

    1. Le Sofia Samatar avait fait pas mal de bruit il y a quelques années, j’ai l’impression d’en avoir le souvenir.

      Non, Uprooted, pas encore, il dort sur l’étagère de fantasy ^^

      Je pensais bien que Babel t’intéresserait ^^ c’est typiquement le sujet sur lequel on va discuter looongtemps XD

      Oui le Jo Walton dont tu parles je l’ai lu aussi j’ai l’impression. Morwenna ?

      Claire Krust me dit quelque chose, je vais fouiller de mon côté, mais Celle qui devint le soleil ne me dit rien, merci pour les idées ^^

Chuchoter aux quatre vents

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