Il faut juste rajouter 3 ans (2007) pour le total, avec Canalblog et Blogspot (je crois ?), je vous renvoie à mon article d’historique pour le (re)voir ou le découvrir !
J’en profite pour faire un petit point technique et projets sur le blog ~ j’avais commencé un article sur l’état du « ménage » aka la reprise des articles, spécialement lecture pour redesign de la structure (paragraphe d’information supprimé, logos de genre ajoutés, bannière remise à jour). Il m’a fallu des mois pour passer de 2007 à 2016 ^^, grosse baisse de régime et de moral depuis l’hiver. Mais là ça va va mieux.
Projets à venir à plus ou moins long terme :
♣️ déjà prendre les photos pour les derniers hauls de vêtements … je n’y ai pas été depuis non plus ;
♣️ il y a la série Bucket List que je n’ai pas terminée et celle sur laquelle j’avais tellement bossé en automne dernier T_T ;
♣️ la carte des auteurs·rices lu·e·s sur le blog depuis l’an dernier ;
♣️ les nouvelles bannières (Media notes, Wish list, On My Shelves);
♣️trouver des images de meilleures qualités pour certaines couvertures ou illustrations de films et séries … ;
♣️ ajouter des tag / légendes aux photos de vêtements parce que c’est galère à retrouver en fin d’année juste avec la date d’article XD ;
♣️ finir la publication des articles lecture Vintage ;
♣️ retravailler les articles qui ont été publiés sous l’ancien éditeur en faisant la conversion bloc ;
♣️ voir comment relier les articles de séries VF avec les séries VO (liens avec une différente galerie ? bannière propre à chaque série ?).
Faits :
♣️ reprendre les étiquettes pour les doublons ;
♣️ décider si je re sépare les articles des différents tomes de mangas ou si je laisse regrouper par série. C’était juste une décision, ça a pris du temps mais c’est fait ! Je vais séparer les tomes en plusieurs articles, je n’aime pas avoir plusieurs livres différents en un.
J’éditerai cet article si je vois autre chose ^^ J’espère avoir bientôt l’espace mental nécessaire pour accorder un peu plus d’attention au blog que juste pour les articles mensuels.
Pour la première fois depuis longtemps, j’ai eu envie de préparer une pile à lire pour le mois qui s’annonce 😀 J’avais très envie d’une sélection bien diversifiée. On verra bien si j’en lis un, deux, la moitié ou aucun !
En manga, je n’ai sorti que des premiers tomes mais j’en ai trois par série en tout (l’une terminée, l’autre pas) :
Relectures pour savoir si je conserve ou pas, et si je poursuis Arte dont je n’ai que les trois premiers et qui court jusqu’au dix-sept.
En jeunesse :
Pauline demoiselle des grands magasins me rappelle ma lecture du Bonheur des dames en début d’année, mais en mode jeunesse et j’espère vraiment moins sexiste ^^, (bon après c’est Fleurus donc je ne suis sûr de rien …). Fée fantôme avec Octavie d’Urville (Livraddict me signale que ce n’est pas du jeunesse, j’ai vaguement l’impression d’être à l’ouest XD).
En imaginaire :
Kivrin est une très jeune étudiante en Histoire. Elle n’a qu’une envie : visiter le Moyen Age, ce qui est en théorie possible à son époque, mais n’a jamais été réalisé jusqu’à présent puisque la période est positionnée au niveau 10 de danger et donc restreinte. Un enseignant a profité de l’absence du directeur de l’université pour baisser ce chiffre au niveau 6 et l’y envoyer, provoquant la colère et l’inquiétude du professeur qui a formé Kivrin. Normalement, ils devraient pouvoir la récupérer en un clin d’oeil au moindre problème. Normalement. Relecture, avis originel ici.
Vibes fantasy et un peu dark avec le premier tome d’une duologie aux accents asiatiques pour Forest of a Thousand Lanterns.
Les documentaires :
Petit méli-mélo de thème, Histoire, littérature, information. Le premier est pour un challenge Storygraph.
Et un peu de contemporaine :
Le deuxième est peut-être un témoignage ^^, Fresque familiale à Cuba pour le premier, un autre challenge Storygraph, et milieu du livre pour le dernier.
J’ai déjà démarré Le grand livre. C’est une relecture au très long cours, je pense, j’espère qu’il me plaira autant qu’à la découverte.
Comme pour avril, je n’ai pas recompté les relectures Milly Johnson, mais j’en ai laissé d’autres.
Rudi est un petit garçon qui vit en Allemagne au début des années 30. Il essaie de comprendre tous les changements qui se mettent en place, les disputes entre ses parents qui n’ont pas le même avis sur ce qui se passe dans le pays. Et puis, il y a sa petite soeur, Mariele, qui est un peu différente et qu’on veut leur enlever.
Je ne suis pas très fan du style graphique sur ces albums Rue du Monde. L’histoire en elle-même est intéressante : la montée du nazisme vue par un enfant qui questionne ses parents sur les choix qu’ils ont fait en votant, au vu des conséquences. L’histoire se termine sans réponse à la question du titre, et même si on a des éléments tout au long du récit, notamment dans les disputes des parents, petit regret.
Après, les albums Rue du Monde sont toujours enrichissants puisqu’ils ont beaucoup d’encarts documentaires, comme sur le début des totalitarismes en Europe dès les années 20 et les différentes actions d’Hitler avec des photographies.
Ramla vit au Cameroun avec ses frères et soeurs, ainsi que beaucoup de demi-soeurs et demi-frères. Son père a plusieurs épouses, comme c’est la tradition là où elle vit. Elle a beaucoup de chance puisqu’elle a pu aller au lycée et étudier les sciences. Lorsqu’elle est sur le point de se fiancer, c’est à un ami de son frère qu’elle aime beaucoup, étudiant lui aussi, qui lui permettrait de poursuivre ses études également. Mais un jour, tout bascule. Son oncle l’a promise en mariage à un autre homme, déjà marié. Elle se marie le même jour que sa cousine Hindou, avant de se retrouver dans son nouveau foyer, avec Safira, la première épouse.
Le mot le plus répété du livre est patience. Je lui ai systématiquement contré sexisme. J’ai vu des études de texte qui mettaient en avant le féminisme du texte … en quoi ? Parce que l’autrice dénonce des pratiques ? Mais elles ne sont jamais présentées comme négatives, au contraire, mais comme la norme. Entre Hindou mariée de force à son cousin qui boit et se drogue, jugée parce qu’elle n’est pas l’épouse silencieuse exigée, qui finit par (nouvel éditeur à la con qui ne me permet pas de dissimuler un poil, il faut faire un nouveau paragraphe ><)
être battue et se laisser mourir …
Safira qui ne veut tellement pas de Ramla dans les lieux qu’elle
la manipule et leur mari commun jusqu’à la blesser physiquement
pour conserver sa place de première épouse. J’ai détesté cette lecture. Je ne m’attendais pas à ce côté choral qui est parfois difficile à suivre (je n’ai pas compris tout de suite que la première épouse redoutée de Safira était Ramla suivie dans la première partie du livre. Je voulais savoir ce qui lui arrivait et l’histoire de Hindou a fait comme une longue pause).
Inspiré de La Ferme des animaux d’Orwell (et non pas Les animaux de la ferme comme le pensaient les 3ème XD oui c’est drôle dit comme ça on dirait un imagier XD), les animaux vivent ici dans un château imposant. Ce n’est pas un cochon qui les dirige, mais un taureau très imposant, aidé dans sa tâche par les chiens du domaine. Miss Bengalore, elle, est une chatte blanche qui essaie de subvenir aux besoins de ses chatons en transportant des pierres pour construire des bâtiments. Chaque animal a une tâche à effectuer pour permettre au château de fonctionner ~ ou au président Silvio, le taureau, de vivre confortablement. Un vent de révolte souffle pourtant.
Nouveautés dans mon CDI secondaire (je ne connaissais pas et ne les ai vus qu’au moment de les cataloguer), le dessin est très beau, très réaliste. Mais j’ai été frappé dès les premières planches par la violence de l’histoire (une pauvre poule condamnée et massacrée par les chiens pour avoir … volé un oeuf … le sien …), sa dureté. Les auteurs ont poussé plus loin le concept du récit d’Orwell pour présenter la société des animaux dans sa structure et la révolte qui essaie de se mettre en place. Je suis assez curieux de l’origine de cette république, comment Silvio est arrivé au pouvoir, sachant qu’il a des contacts avec les humains, et du devenir de la révolte. Une adaptation vraiment intéressante.
Alison Bechdel retrace ses souvenirs d’enfance et d’adolescence, éclairés par le décès de son père. Elle essaie de mieux comprendre cette figure emblématique de sa vie dont elle savait si peu de choses au final, tout en revenant sur sa propre vie.
Je ne sais pas trop quoi penser de ce roman graphique dont j’ai entendu parler il y a longtemps et qui est resté dans un coin de ma tête. L’histoire familiale de l’autrice est fascinante, j’ai beaucoup aimé suivre ses particularités. Son dessin est simple et très descriptif, sa manière d’écrire m’a donné envie de tourner les pages même si on oscille entre du très quotidien (réagencement de la maison familiale) au plus houleux (les relations de son père avec des adolescents et jeunes gens). J’ai plutôt envie de découvrir d’autres travaux de l’autrice, notamment comment elle en est arrivée à l’élaboration de son fameux test (mesure de la représentation des femmes dans un média, d’abord dans un film mais je trouve qu’il s’applique ailleurs aussi : il doit y avoir au moins deux femmes, elles discutent entre elles, et dernier point : d’autre chose que d’un mec ; peu de films au final passent ce test).
Annie Ernaux se rappelle de son père lors de son décès, de son enfance et relate sa vie à lui.
C’est amusant que ces deux résumés se suivent, ce n’était absolument pas prévu. Je l’avais déjà lu il y a longtemps (et m’étais clairement ennuyé), c’est un specimen arrivé au travail que j’ai lu avant de le ranger ~ ça va très vite. Mes collègues m’ont parlé d’autres livres de l’autrice qui pourraient m’intéresser davantage, comme L’évènement, sur l’avortement, ou Regarde les lumières mon amour, sur la société de consommation).
Charlotte a gagné un cheval lors d’un concours de slogan. Dans le premier tome, elle découvre l’univers des chevaux dont elle n’a pas du tout l’habitude ; le deuxième se focalise sur son apprentissage des galops pour pouvoir continuer à venir au club ; le troisième sur sa relation avec le garçon rencontré dans le premier, ou pas, le tout avec plein de petits éléments annexes.
Je n’aime toujours pas les chevaux mais le dessin de Colonel Moutarde est toujours aussi adorable, et l’humour de Nathalie Dargent passe très bien.
L’autrice raconte comment, alors qu’elle allait passer une audition pour les Ice Capades, une troupe de patineurs qui réalise des spectacles, elle est abordée par deux inconnus qui l’entraînent dans une secte. Le roman graphique retrace son entrée dans le groupe, leurs activités, les efforts de sa famille pour l’en sortir et sa déprogrammation.
J’ai détesté cette lecture. Le style graphique fait déjà très brouillon à mes yeux, ensuite les transitions sont trop rapides, souvent bâclées. Et enfin je déteste littéralement le titre. Comment faire plus moralisateur et stressant. Genre ben parler à un inconnu FORCEMENT tu vas être enlevé ou il va t’arriver quelque chose de grave. Si j’avais lu ça enfant (j’avais déjà des tendances ermite et stressée), je ne suis vraiment pas sûr que j’aurais eu envie de ressortir de chez mes parents. Hell, j’aurais paniqué à la moindre personne m’adressant la parole (sachant qu’en plus c’était la fin des années 90 et les sectes étaient « beaucoup plus à la mode » que maintenant, on en parle moins). Il y a suffisamment de choses angoissantes dans ce monde sans en rajouter une couche à ce point.
Suite au décès de sa grand-mère bien-aimée, Holly reprend son école de cuisine et sa petite épicerie italienne (pâtes et sauces fait maison). Camilla était aussi capable de prédire leur avenir, notamment amoureux, à celles et ceux qui venaient la voir. Comme elle l’a fait pour Holly : son âme soeur allait adorer le sa cordula, un plat très spécial. Quand elle arrive, Holly ne se débrouille pas aussi bien qu’elle l’aurait souhaité en cuisine. La majorité des élèves de la nouvelle session de cours annulent leur inscription, une autre habitante de l’île propose des cours de cuisine italienne pour lui mettre des bâtons dans les roues, d’autres critiquent gratuitement les plats qu’elle vend … Heureusement, il y a les quatre élèves de son cours, venus pour apprendre les recettes de Camilla et les petits plus de chacune : un souvenir, heureux ou malheureux, ou un rêve.
Relecture d’une très jolie histoire. La partie cuisine comme romance sont très chouettes, et j’adore le côté italien.
Quand son petit-ami est parti, Vivienne a pensé gérer la rupture très sainement. Bain moussant, musique à fond et vodka. Le maudire, c’était une idée en l’air sur le moment, mais vraiment, ça n’aurait pas dû lu causer beaucoup de désagrément, même si Vivienne est une sorcière. Neuf ans plus tard, Rhys retourne dans la petite ville où habite la jeune femme, et effectivement il ne donne pas l’air d’avoir été incommodé. Malheureusement, c’est lorsqu’il va recharger les lignes magiques de la ville que la malédiction explose, et c’est beaucoup plus grave que prévu.
J’ai adoré cette petite lecture. Vivienne est très drôle et forme un bon duo avec Rhys, sans parler de leurs familles respectives. Il y a définitivement un côté Practical Magic même s’il y a plus de sorcières et sorciers dans la ville, avec des fantômes. Très content de voir qu’il s’agit d’une petite série, un univers agréable à retrouver.
Beth est élève de l’institut Princesse, avec ses grandes soeurs Meg et Jo. Amy, la plus jeune, viens d’être admise pour ses résultats exceptionnels en dessin. Meg et Jo ont également beaucoup de talent ; l’aînée enseigne l’allemand et la littérature, la cadette excelle en escrime. Beth a l’impression d’être différente de ses soeurs, une impression partagée par le reste des étudiants.
Relecture d’un manhwa qui a passé du temps en stockage. Pas sûr que je vais le conserver. Les prémisses auraient pu être intéressantes, et les illustrations de couverture sont jolies. Mais je rencontre les mêmes problèmes qu’avec L’Epouse du dieu de l’eau (même éditeur), problème de traduction, parfois seulement de français mais bien souvent de compréhension, de logique dans l’enchaînement des évènements. Et juste … je m’en fiche. Vraiment. A part Amy qui reste toujours une saleté.
Elle a jeté le manuscrit de Jo au feu. Ca date peut-être du siècle dernier, pour moi, mais ça restera une saleté.
Je n’avais paaas envie de finir ce très, très beau recueil. J’ai beaucoup aimé les choix de Diglee mais aussi apprendre comment elle avait découvert ces autrices. Et le livre est dûment post-Ité ^^
Arrivé par hasard dans une propriété inconnue suite à un fort brouillard, Michael tombe sur le maître des lieux assassiné et la femme de celui-ci avec l’arme du crime. Il décide de lui venir en aide et l’empêche de se dénoncer. Mais au fil de l’enquête, il s’avère que beaucoup d’autres auraient aussi eu une raison d’en finir avec l’odieux Richard Warwick.
Je ne m’attendais pas du tout à lire du théâtre ! Je pensais qu’il s’agissait d’une nouvelle policière. Puis une adaptation en pièce. Mais pas du théâtre originellement. Les dialogues sont fluides (même si diantre, comme d’habitude, il y a la tonne de notes de bas de page, et je me sens toujours obligé de les regarder) et le déroulement tout aussi inattendu que le retournement de situation finale, auquel je ne m’attendais pas du tout ! Une lecture courte et bien chouette.
Les dernières missions de Rachel se sont toutes soldées par un échec. Son moral n’est pas au beau fixe et sa situation au travail loin d’être reluisante. Être une sorcière ne résout pas tous les problèmes. Alors, elle décide de quitter son entreprise, une police très spéciale qui capture les créatures fantastiques qui ont désobéi aux lois. Elle pensait pouvoir s’en sortir sans payer le prix fort, vu que l’administration ne peut pas l’encadrer, mais elle se retrouve chassée à son tour. Seule solution pour se protéger : créer sa propre agence avec une vampire et un pixie.
J’étais tellement content quand j’ai vu que Bookmark avait racheté les droits pour cette série ! De toutes celles que j’ai lues chez Milady, à part Psi Changeling, c’est vraiment celle qui m’a laissé le meilleur souvenir. Peut-être pour l’anecdote des tomates ^^, J’ai adoré retrouvé l’univers magique, la cohabitation entre les créatures, les personnages et leur humour. Et il n’y pas trop de relations amoureuses, ce qui reste à souligner pour un premier tome de série fantasy urbaine. J’espère qu’ils vont vite publier le deuxième !
En matière de relecture numérique, après les Milly Johnson, j’ai eu envie d’enquête et science-fiction, donc je repars sur la série In Death, qui démarre à la fin des années 2050 et suit Eve Dallas, lieutenant de police à New York. La science-fiction est plus un aspect ici, le contexte des différents récits, axés sur les enquêtes auxquelles l’héroïne est confrontée et ses relations (amicales, amoureuses, professionnelles). J’aime beaucoup l’humour et les dialogues, même s’il y a parfois un aspect un peu cliché notamment dans le traitement du genre.
Une lecture qui est restée très colorée et pleine d’idées créatives, même si je ne pense pas en mettre beaucoup en œuvre (trop manuel pour moi ^^,).
Lecture en cours :
Alors … apparemment il y a un spectacle. Et Beth est nommée pour faire partie des Estelles, ou Estrellas (il y a les deux orthographes et aucune ne fait sens, après je suis pas sûr que l’objectif de la série soit de faire un quelconque sens à part « les quatre filles du Dr March à l’époque victorienne ») et tout le monde râle parce que pourquoi elle sans talent. Après avoir été (je crois dans le tome 2) dépouillée dans les bas quartiers lors d’une sortie à Londres où elle s’était retrouvée (par sa propre bêtise) seule, elle retourne à Whitechapel pour avoir des informations sur un étudiant dont elle est amoureuse.
Très honnêtement, je crois que je termine ce tome et je laisse tomber. Je ne vois aucun intérêt à l’histoire, je lis en diagonale parce que bien souvent les bulles sont pleines de fautes et de phrases difficilement compréhensibles, que ce soit d’un point de vue orthographe/grammaire ou juste compréhension. Et le dessin ne rattrape rien. Sachant que la série a été stoppée au tome 9.
Je vous remet mon résumé préparé à la base pour un autre article : Kivrin est une très jeune étudiante en Histoire. Elle n’a qu’une envie : visiter le Moyen Age, ce qui est en théorie possible à son époque, mais n’a jamais été réalisé jusqu’à présent puisque la période est positionnée au niveau 10 de danger et donc restreinte. Un enseignant a profité de l’absence du directeur de l’université pour baisser ce chiffre au niveau 6 et l’y envoyer, provoquant la colère et l’inquiétude du professeur qui a formé Kivrin. Normalement, ils devraient pouvoir la récupérer en un clin d’oeil au moindre problème. Normalement.
Le texte est très descriptif, touffu. C’est typiquement le genre de science-fiction plein de descriptions dans lequel j’adore me perdre pour apprécier la balade, ici une jeune fille qui remonte le temps jusqu’à une période dangereuse sans se douter de la situation à son époque. Vraiment très agréable.
Noël n’est clairement pas la saison préférée d’Eve. Déjà qu’elle doit s’essayer à trouver un cadeau pour quelqu’un qui a tout et les moyens de s’offrir n’importe quoi sur et hors planète, son mari Roarke, et pour les autres membres de son entourage, elle est aussi confrontée à un nouveau tueur en série, après les fanatiques religieux de Vengeance In Death. Cette fois, c’est le Père Noël qui agresse et tue ses victimes directement chez elles, au fil de la chanson The Twelve Days of Christmas, une par jour. Eve a donc encore moins de temps pour résoudre la question épineuse des cadeaux.
Encore un tueur en série (troisième tome d’affilée, je crois), mais j’aime bien le contexte de l’agence de rencontres comme point commun entre les victimes. La relation entre Eve et Peabody se pose bien et cette dernière rencontre Charles, un personnage que j’aime beaucoup mais qui n’apparaît pas assez. J’en suis à la quatrième victime et même si c’est une relecture (bon okay ça date), je ne visualise pas encore le ou les coupables.
En mai, je reçois enfin ma commande irlandaise, passée pour tester une librairie en ligne, et je fais une brocante avec ma voisine. Ce sont ces livres d’occasion qui démarrent la moisson.
Je suis très intrigué par Simone de Beauvoir depuis ma lecture de ses Mémoires d’une jeune fille rangée. J’ai cru que ce beau pâté était une biographie assez ancienne mais elle a moins de cinq ans !
Le passeur de la même autrice m’avait beaucoup plu. C’est un univers tout différent apparemment sur un personnage qui peut percevoir l’histoire d’un objet en le touchant.
On en reparle, sachant que c’est une source de stress actuelle.
On passe à la commande irlandaise, via le site Kenny’s.
Un peu déçu. C’est un livre à destination des plus jeunes, certes très souple et plein de couleurs, mais juste en le feuilletant j’ai l’impression qu’il manque pas mal de notions. Je le lirai, hein, puisque justement l’autrice a l’air réputée pour sa manière d’en parler aux plus jeunes, mais je ne suis pas enthousiaste.
Je le suis beaucoup plus avec celui-ci. J’aime beaucoup The Dark Wood Tarot de l’autrice, très clair et fluide, et sa manière d’écrire, donc j’ai hâte de me pencher sur sa méthode.
Ma première raison pour cette commande. C’est un deck français à l’origine mais je le trouvais beaucoup trop genré pour le garder en VF, alors que j’adore l’illustratrice, Marion Blanc. Ca passe un peu mieux en anglais mais je coince quand même sur quelques éléments.
Je découvre Stacey DeMarco avec ce superbe deck. Le concept des créatures fantastiques me parle, forcément, et j’aime beaucoup le style graphique digital.
Et enfin quelques livres plus « scolaires ».
J’ai reçu beaucoup de livres à dominante féministe ces derniers temps au travail : les fables de Marie de France, des voix féminines pour des nouvelles réalistes et fantastique, et ce recueil de portraits satirique qui me fait un peu penser aux Caractères de La Bruyère (en moins atroce parce que je déteste ce truc étudié en terminale).
Pour les études sur le livre précédent.
J’ai très envie de découvrir Simone Veil davantage après avoir vu le film qui lui était consacré (oui je sais que j’avais dit que j’en parlerais XD).
Après Esope et avant le trop célèbre Fonfon (je n’en peux plus de fonfon, tous les ans je reçois une tonne de spécimens de ses fables !), Marie de France a proposé des fables elle aussi. Je suis curieux d’en découvrir davantage.
La législation animale est un sujet qui m’intéresse et sur lequel je ne suis pas vraiment à jour ~ j’aimerais vraiment dire que beaucoup de choses ont changé et qu’on est bien … mais pas convaincu. Je ne connais pas bien la maison d’édition non plus, c’est l’occasion.
Vous connaissez ces titres ? De nouveaux livres chez vous ?
Il n’y a pas eu d’article en avril parce que ça me faisait trop mal au coeur de rédiger encore une coquille vide 😔 ça va mieux en mai. Un peu.
Organisation / Réflexions
J’ai passé des heures à essayer de comprendre d’où pouvait venir mon bloquage. Je n’arrivais même pas à ouvrir un document sur l’ordinateur. Certes, j’ai toujours plein de choses sur le feu, boulot, maison, danse, etc. mais pas l’impression que ce soit uniquement une question de temps. Plutôt d’espace libre dans le cerveau ^^, J’ai envie de reprendre à zéro tous mes projets, voir si je souhaite encore travailler dessus, pourquoi. J’ai commencé une liste pour analyser mes besoins et mes envies sur chaque texte. On verra à partir de là vers où je me dirige.
Création
Je suis toujours en cours de travaux sur le blog (on a atteint 2015 XD) pour modifier les structures des articles lecture et ajouter des bannières de genre. En relisant l’un d’entre eux, je suis tombé sur une anecdote qui m’a beaucoup inspiré. L’idée m’a lancé sur des prémisses de projet, et j’ai été bombardé de notes dans les jours qui ont suivi (Pcd), sur le contexte historique notamment et l’organisation (un des thèmes majeurs dans le récit).
Recherches
Pas dernièrement.
Elaboration ~ Développement de personnages
Je n’ai pas encore repris.
Planning
Je me suis plus focalisé sur des notes de démarrage cette période.
Rédaction
Pas encore.
Révision
La même.
Relecture
J’ai enfin terminé le projet de beta reading pour une amie. Je ne sais pas encore trop ce que j’en pense, c’était très inattendu.
Je suis vraiment content d’avoir réussi à reprendre, même si ce n’est qu’un peu. Toujours l’impression de jongler avec tellement d’autres choses et d’avoir du mal à en faire une priorité. Et je ne suis même pas sûr que juin sera différent, ça risque d’être une période de stress, entre le boulot et la danse …
Et chez vous, de belles choses créées en avril et en mai ?
Le bilan d’avril a l’air beaucoup plus léger que mars mais je n’ai pas re compté les relectures Milly Johnson.
Chiaki a l’impression que sa vie va tout de travers. Elle ne peut notamment pas faire trois pas dans son appartement sans tomber sur une multitude de choses : ordures, vêtements, livres, choses en tout genre. Déterminée, elle se met à la recherche de quelqu’un pour l’aider à tout réorganiser dans son appartement et rencontre Marie Kondo.
J’adore Marie Kondo et sa méthode de tri. Elle a beaucoup fait la différence depuis une dizaine d’années que je m’en inspire. Illustrée par l’émission sur Netflix qui est déjà chouette, elle est ici présentée via manga pour une histoire de fiction. C’est dommage parce qu’elle est vraiment courte. Le récit sert juste de présentation au système alors qu’on aurait pu avoir toute une série, à la manière de l’émission documentaire, de différents petits récits. L’illustration est mignonne et le personnage de Chiaki et son voisin sont chouettes.
La Fédération japonaise de football, qui en a marre de perdre à toutes les Coupes du monde (rien qu’arrivé là … j’avais du mal à ne pas me dire, et alors ?) décide de suivre l’idée d’un entraîneur un peu loufoque : enfermer les meilleurs lycées attaquants du pays dans une espèce de prison, le Blue Lock, en mode Hunger Games pour virer les moins performants et produire le joueur d’élite.
J’avoue, quand je l’ai vu dans la liste des 48h de la BD, c’est le seul livre qui m’a paru d’intérêt pour le boulot ~ Perfect World est déjà au complet au CDI. J’ai détesté cette lecture. On n’en était pas arrivé à la page 20 et il y avait déjà bien 3 réflexions sexistes et le seul personnage féminin de tout le livre est défini par ses attributs (notamment par un point de vue sous la poitrine, vers le haut). Les dessins ne me parlaient déjà pas mais c’est typiquement le genre de série où la passion se transforme en folie qui se retransmet dans le style graphique. Ca a fait plaisir à un élève mais clairement moi je ne poursuivrai pas.
Haru en couverture est mise à l’honneur dans ce tome 3 où on voit de nouveau le harcèlement qu’elle subit d’autres lapines du lycée pour être sortie avec le copain de l’une (sans aucune conséquence pour ledit petit-ami). Elle retrouve au détour d’un couloir Legoshi, lequel s’intéresse toujours à elle mais reste d’une timidité maladive. Puis on suit Legoshi et ses camarades de chambre avec d’autres lycéens en ville jusqu’à leur arrivée inattendue au marché noir.
Je retourne à Beastars pour la lecture d’avril du challenge graphique Storygraph avec un retour très différents des précédents. Si j’ai beaucoup aimé le côté lycéen de la première moitié du tome, les moments entre Legoshi et Haru, la deuxième sur le marché noir m’a vraiment choqué. Ca ne m’est pas arrivé souvent depuis bien une vingtaine d’années de lire des passages qui m’ont autant perturbé et me poussent à faire une pause dans la série.
Usbek et Rika, originaires de Perse, voyagent en France et entretiennent des correspondances avec des amis à eux restés dans leur pays ou en train de voyager eux-mêmes. Les lettres sont un moyen de critiquer différents aspects de la société.
Choix de mars pour mon challenge Classiques de Storygraph, j’avais étudié plusieurs lettres au lycée et adoré le principe. Après ce moment d’ennui, pas sûr que réessayer de lire des oeuvres de l’époque soit une excellente idée. Long, ennuyeux … je sais que l’épistolaire n’est pas mon truc (ça passe juste dans les livres qui évoquent des livres XD) mais c’était particulièrement inintéressant ici. Les critiques restent généralement bien plus subtiles que dans mon souvenir et j’en suis resté déçu.
Une jeune fille vit recluse dans un pavillon (bon elle est pas emprisonnée hein apparemment c’est typique), avec une amie et servante. Un jour, elle rencontre un étrange jeune homme dont elle tombe amoureuse. Mais … c’est compliqué. Ah, et des soldats débarquent à un moment ?
Okay, vraiment, désolé, je ne pourrai pas plus résumer. Parce que question histoire, bah, déjà elle ne m’est jamais restée en tête (et j’ai ce livre depuis 2011, hein, je l’avais déjà lu plusieurs fois) mais aussi elle est compliquée à suivre. Il y a vraiment eu des passages, des pages, j’ai cru que ça avait été coupé au montage. Apparemment le récit est issu d’un classique du théâtre chinois à la base, adapté ici en manhua. Et ça n’a pas grand intérêt d’un point de vue scénario, histoire. Elle est rushée, j’ai l’impression coupée par endroit, ou peut-être est-ce un problème de traduction ? Cette fois (ayant Fly en tête), j’ai plutôt pensé à une adaptation foirée.
Ce qui est à retenir ce sont les illustrations de Guo Guo qui sont superbes et portent un récit qui n’a pas l’air de le mériter (la pièce est réputée pour être une des plus belles histoires d’amour du théâtre chinois pourtant).
Mikoshiba est bibliothécaire à « La rose trémière », spécialisée en littérature jeunesse. Il est parfois un peu sec et coupant mais il a toujours une idée de lecture passionnante pour les plus jeunes comme les adultes.
Relecture pour ces deux mangas qui reviennent de stockage. Lors de ma première lecture, si j’avais beaucoup aimé le premier, le deuxième était un peu retombé comme un soufflé, notamment parce que je connais beaucoup mieux les livres évoqués et n’aime pas trop ceux du deuxième, ni les petites histoires attachées. J’ai retrouvé avec plaisir la bibliothèque comme théâtre des multiples intrigues, les références littéraires (avec encore un moins pour celles du deux), les personnages très attachants. Je vais conserver cette série et la continuer, même si c’est vrai que question rythme et suspense ça n’est pas forcément remarquable.
Histoire de l’application Instagram. Punaise, j’ai mis presque deux mois à le lire alors qu’il y a moins de 300 pages ! Comme je le disais dans les bilans précédents, autant c’est fascinant de découvrir l’histoire d’Instagram, le réseau que je préfère, surtout lorsque je ne la savais absolument pas aussi entrelacée avec celle de Facebook, autant j’ai trouvé extrêmement ardu de rester concentré sur ma lecture. Je ne pense pas que ce soit la lecture de documentaire, en anglais, ou centrée sur un média/son histoire, ce sont des éléments que j’adore.
A mon sens, c’est le style d’écriture : elle est sèche, très aride. L’autrice balance bien 50 000 noms de personnes à travers tous le livres (entre Insta, Facebook, Twitter, Snapchat, Whatsapp ~ ne manquaient que des gens de Tiktok ~ plus les célébrités diverses et variées), impossible de garder tout le monde en tête pour pouvoir les replacer. Il aurait fallu littéralement que je pose le livre, aille rechercher sur Internet … mais non. Je ne lis pas ce livre dans un cadre scolaire ou professionnel, mais de loisir. Alors je suppose que c’est parfaitement normal d’avoir un texte aussi plat et axé sur le name dropping dans le genre, pour gérer une masse d’information pareil, mais ça en complique clairement la lecture pour moi.
Lecture en cours :
Diglee propose une anthologie de poétesses peu ou pas connues, dans un très beau livre relié cousu, avec une couverture à la chouette texture aussi. Pour l’instant j’ai lu deux parties / chapitres et déjà découvert énormément d’autrices que je ne connaissais pas, et si certains vers ne m’ont pas parlé, il n’y a rien que j’ai détesté, on est plutôt sur l’inverse.
C’est sensé être ma lecture d’avril, mais il y a des chances que je déborde ^^, J’ai fait le tour des bibliothèques plutôt tard pour le renouvellement du challenge comme j’ai attendu d’avoir fini Filter. Et j’ai envie de mettre des post-It partout pour ne pas corner ^^
Je l’ai mis dans mes lectures en cours mais je n’ai pas encore passé le sommaire ^^, je n’étais pas du tout dans un mood de lecture. Je peux juste dire qu’il est extrêmement coloré, ce qui est totalement dans la veine de son autrice, Molly Roberts (explosions de couleurs dans ses vidéos Youtube), avec plein d’idées créatives.
En avril, il y a de jolies trouvailles livresques.
J’avais repéré ce livre il y a quelques temps déjà, pour sa couverture et son titre fantaisiste. Je suis tombé dessus par hasard à l’arbre à livres.
J’hésitais à choisir un livre d’Elena Ferrante pour mon challenge autour du monde, et en avais déjà chipé un dans mon CDI secondaire, mais en triant la bibliothèque des parents, je suis tombé sur celui-ci qu’ils n’ont pas voulu garder. Je ne crois pas que j’en ferai ma lecture italienne pour le challenge, mais il me tente aussi.
Lecture du challenge Graphic Novel de mai sur le thème des mémoires. J’avais envie de découvrir Alison Bechdel depuis longtemps ~ je crois le cours de littérature anglophone à l’IUT de 2011.
L’offre Vinted était toute douce pour ce beau grand livre ! C’est un arrêt pour le challenge autour du monde, destination Nigeria.
Destination Cuba avec celui-ci.
Ce n’était pas du tout prévu mais la vendeuse du livre précédent proposait la trilogie dans ses offres Vinted aussi ^^, J’avais adoré les films, je suis très curieux de découvrir les livres.
Une jolie moisson pour avril, je trouve ^^
Vous connaissez ces titres ? De nouveaux livres chez vous ?
Forcément c’est un article commencé en décembre dernier 😂
J’ai donc récupéré beaucoup de livres de stockage en automne et décembre 2022 et repensé l’espace bibliothèques du salon. Je suis parti sur une séparation entre fiction et documentaire, et dans le premier groupe, les mangas, BDs, romans graphiques et comics ont eu droit à leur propre bibliothèque
Pour rappel, en septembre, ça ressemblait à ça :
Romans et documentaires, tout était casé là à part quelques documentaires et les livres de boulot. Je vous renvoie à l’article pour le détail.
Pour rire, une photo du stock rapatrié :
Et des mêmes étagères en décembre, avant le tri (oui c’est définitivement moins rangé XD).
Donc au début des vacances de décembre, je me suis lancé dans une grande opération de tri des livres. Vraiment, ça m’avait manqué, et là il y avait clairement matière. Comme d’habitude il y avait une pile de OUI définitifs et massifs ; maybe, stand-by, et nope retour à la case désherbage. Cette dernière catégorie qui a regroupé quand même pas mal de livres.
Une fois les livres triés bah il fallait ranger. Et ce n’était pas la bibliothèque unique qui allait tous les accueillir. J’ai récupéré la demi-bibliothèque de chez les parents et la blanche qui contenait les livres d’écriture et de petits trucs de l’autre pièce. Objectif : la fiction dans la première bibliothèque ; mangas, BDs, romans graphiques dans la demi et documentaires sur la blanche. Avec ça j’ai commencé à faire des piles.
A la base je pensais me lancer dans l’achat d’une grande bibliothèque chez Ikea pour recouvrir tout le mur mais je me connais, je procrastine énormément, donc autant partir de ce que j’ai déjà. Pour être honnête j’ai quand même eu peur de casser ma bibli blanche XD J’ai juste laissé les documentaires d’écriture à part, avec les mangas et Bds.
Et après, une fois le premier tri fait, j’ai re préparé par étagère. Alors les photos intermédiaires ne ressemblent à rien (d’autant que, sorry, j’ai fait ça passé 21h fin décembre avec le téléphone) mais c’était plus simple pour ranger.
J’ai démarré par la demi-bibliothèque pour les illustrés.
Ensuite le reste de la fiction.
Oui, c’est déjà bien plein. A ce moment ^^,
Enfin, les documentaires.
A voir les piles, j’avais l’impression qu’il y en avait beaucoup plus ^^, J’ai fait de petits tas par thème : sur le niveau supérieur, les arts tout à gauche, puis vers la droite, la littérature, l’Histoire, la mode, le genre et féminisme tout au bout.
Voilà pour le nouveau set up des bibliothèques ~ depuis fin décembre. Il n’y a pas de grand changement à ce niveau mais il commence à y avoir pas mal plus de livres, ça se remarque en tout cas. J’attends cet été pour vous remontrer tout ça !
Je disais déjà bientôt les vacances dans l’article consacré à celles de février … On prend les mêmes et on empire les choses.
Mon envie d’organisation n’a pas disparu mais elle est focalisée sur l’été pour une très bonne raison dont je reparlerai parce que nouveau (petit) (mais grand quand même pour moi) retournement de situation et de réflexion.
Donc ces vacances de printemps, je dois retourner chez mes parents. Parce qu’ils (je vous jure) retiennent mes pneus d’été en otage (ils n’ont pas voulu me les ramener et les laisser alors que j’ai un garage ET une cave …), donc il y aura remontage desdits pneus, check de la voiture (j’espère juste qu’elle ne va pas me coûter le même prix en check que l’ancienne qui datait des années 90s) et contrôle technique. Voilà voilà, du fun, quoi.
Et parce que je serai dans le coin … bah friperie XD Si vous êtes dispos mercredi matin et sur Instagram, je serai en train d’en profiter ^^ pour mon amusement personnel, les vacances d’été, et les costumes du gala de danse. J’aurais une petite tournée à faire des magasins du coin aussi (Décathlon, Ms Mode) pour la même dernière raison.
Peut-être que je réussirai à écrire. Vraiment, je n’en sais rien. Je me suis demandé cette semaine si je n’avais pas trouvé la raison, je vous en reparle dans le bilan. Je voudrais surtout me poser loin du boulot (et en plus première chose lundi matin c’est dentiste … joie).
Et vous ? Vous avez des vacances qui arrivent ? Des choses chouettes organisées ?
On est clairement entré dans la période de l’année où j’oublie le blog et où j’ai zéro motivation. Zut. Heureusement qu’on m’a suggéré cet article, sinon je zappais aussi. Petit point sur les différents challenges que j’ai démarrés après trois mois de lectures.
Sur les 10 livres au programme, mélange de fiction et documentaire, je suis en train de lire le 2e prompt : A nonfiction book about start-ups : No filter.
Douze livres à redécouvrir, un par mois. J’avais oublié que c’était un par mois XD J’ai relu d’autres mangas et les Milly Johnson mais ils n’étaient pas dans ma liste de départ.
Apparemment, pour ce challenge et le suivant, j’ai zappé de vous montrer les prompts sur le blog. J’ai commencé un livre et j’ai fini par le DNF après bah trois mois quoi. Comme vous pouvez le voir dans les articles de bilans d’écriture, je n’ai pas trop la tête à ça.
Avec 28 prompts, c’est le plus long challenge de cette liste. J’hésite à le laisser tomber comme le précédent puisque j’ai complètement zappé de vous les présenter.
J’ai lu les deux premiers et DNF Pure Juliet. Le premier était à égale mesure fascinant et m’a fait rouler des yeux ; les deuxième m’a vaguement fait rire et un peu ennuyé ; le troisième ne m’a absolument pas intéressé. Ce qui ne me donne pas spécialement envie de continuer, les prompts d’avril et mai ne m’intéressaient pas en prime.
Premier challenge sur les comics, bandes dessinées et romans graphiques pour 2023, il consiste à en lire un par semaine.
Alors j’ai lu une BD ou un manga par semaine, hein mais c’est un peu chronophage et enquiquinant à noter. J’ai perdu le fil des semaines sur Storygraph aussi.
Mars devait être un manga mais je n’ai pas eu envie de décider si j’achetais la série complète sur Vinted ou pas (6 tomes) et celui-ci me tentait teeelllement. Fly a un côté un peu lassant mais j’étais encore plutôt nostalgique (dans le bon sens). Lore Olympus reste génial sur le papier, même si le format scroll à l’écran colle très bien à l’oeuvre. Et The Tea Dragon Society est tellement adorable … on en mangerait 😀
Un peu de littérature jeunesse. 20 sont proposés pour ce challenge ~ encore une fois, pas de livres imposés, juste un chiffre dans ce thème.
J’ai lu 5 livres sur 11. Les 4 derniers sont les retours des élèves après une présentation à l’oral. Je ne suis pas spécialement enthousiaste. Grosse déception sur L’élite et La bonne couleur.
Et pour finir, le challenge sans date de fin pour lire de la poésie au sens large. Je suis à jour avec mes 3 livres sur 3 mois.
Je crois que c’est le challenge que j’apprécie le plus et dont j’attends le livre avec impatience chaque mois. Si Une jupe trop courte m’a un peu laissé de marbre, j’ai adoré les deux premiers et j’ai hâte de découvrir d’autres textes.
Un bilan un peu en demi-teinte, je trouve. Si j’ai aimé les moments poétiques depuis le début de l’année, j’ai plutôt l’impression de m’être forcé pour les autres challenges, comme le classique et le jeunesse (bon après celui-ci je prends les livres comme ils viennent au travail). Je n’ai pas collecté / acheté les livres du tour du monde et des genres, je suppose que je devrais plutôt les prioriser, avec les bd/mangas et la poésie, et laisser l’écriture et les classiques (sachant que j’espère trouver d’autres sources pour le classique à l’automne).
Et vous ? Vous vous étiez lancés dans un, des challenges ? Comment s’est passé la lecture depuis janvier ?